Le blog de la section FFS Cne Aghbalou( w )de Bouira: http://ffsaghbalou.blog4ever.com

Décès d'un camarade de lutte à bahalil

La section FFS Aghbalou a les douleurs de vous annoncez le décès de notre cher camarade et ami

Bouzidi mohand Tahar agé de 73 ans 

village de bahalil

17/12/2009

L’enterrement se fera le 18/12/2009 à la

Cimetière du village Bahalil

à dieu nous appartenons et à lui nous retournons


19/12/2009
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pour une eau potable à takerboust (pétition)

Appel

 

Toutes et tous Pour une eau saine et non polluée dans non Robinets

 cliquez sur l'image ou allez vers le site  de takerboust

 le colectif des habitants de takerboust appel  leurs citoyens à signer cette pétition

 

 pour une eau potable pour tout le village et toute la commune d'Aghbalou

une vidéo sur l'eau on prevenance du lit de oued Aghbalou est sur le site

www.takerboust.fr

 

 Votre vie  et celle de vos famille est en Danger Réagissez

 


05/12/2009
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DÉCLARATION de la section FFS Aghbalou

 
Front des Forces Socialistes
F.F.S
Fédération de la wilava de Bouira Section de la commune Aghbalou

DÉCLARATION

En septembre 2008, le FFS a interpellé les autorités locales sur un certain nombre de problèmes qui affectent la vie des citoyens, dont celui de la potabilité de l'eau.  Cependant, aucune mesure n'a été prise depuis.
Aujourd'hui, le FFS apporte une preuve matérielle sur la non potabilité de l'eau de TAKERBOUST, chef lieu de la commune de plusieurs milliers d'habitants.  D'après les analyses bactériologiques effectuées sur un échantillon prélevé à la fontaine publique sise à Taqerravt, en date du 27/09/2009, par les services d'hygiène de Mchedallah (voir le bulletin ci-joint), l'eau du robinet destinée à la consommation est non-conforme aux normes de potabilité. Ceci dit, elle présente des risques multiples qui menacent la santé publique.    
Cet état de fait s'explique ou par le fait que les services de l'APC d'Aghbalou, par manque de moyens, n'ont pas procédé au traitement préalable des eaux, ce qui interpelle les hautes autorités à prendre leurs responsabilités, ou par le fait qu'ils ne se soucient pas des retombées négatives sur la santé des citoyens, notamment du chef lieu de la commune, ce qui constitue une négligence passible de sanction par la loi. Pour rappel, la ressource exploitée provient en grande partie de la ressource superficielle acheminée vers le réservoir par le biais des conduites qui puisent l'eau à longueur d'année à partir d'un bassin d'accumulation réalisé au niveau du lit du Oued Aghbalou et sans périmètre de protection, comme l'attestent les photos prises in situ.
Les résultats de nos analyses mettent en doute ceux des services de l'APC et exigent une nouvelle prise d'échantillons par celle-ci et en présence, cette fois-ci, des citoyens comme témoins oculaires
Consciente de la gravité de la situation, la section FFS de la commune Aghbalou exhorte la population : primo à prendre les mesures de sécurité nécessaires, comme la javellisation quotidienne des eaux avant leurs consommation, surtout dans cette période d'intempéries ; et secundo s'organiser pour revendiquer un droit fondamental à une eau saine, propre et potable.
En outre, la section FFS-Aghbalou re-interpelle les autorités à prendre des mesures adéquates sans trop tarder. À tire d'exemple, former le personnel s'occupant de la javellisation des eaux et le nettoyage des réservoirs et des conduites. Et recrutement des cadres compétents pour la meilleure gestion des services communaux.
 « Notre camp est dans la société, dans son avenir et dans son devenir »
Fait à Aghbalou, le 20/10/2009
Réécriture & correction: D.M
 
 
 les Analyse d'une eau potable

07/11/2009
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DÉCLARATION de la section FFS Aghbalou

 
Front des Forces Socialistes
F.F.S
Fédération de la wilava de Bouira Section de la commune Aghbalou

DÉCLARATION

En septembre 2008, le FFS a interpellé les autorités locales sur un certain nombre de problèmes qui affectent la vie des citoyens, dont celui de la potabilité de l'eau.  Cependant, aucune mesure n’a été prise depuis.
Aujourd'hui, le FFS apporte une preuve matérielle sur la non potabilité de l'eau de TAKERBOUST, chef lieu de la commune de plusieurs milliers d'habitants.  D’après les analyses bactériologiques effectuées sur un échantillon prélevé à la fontaine publique sise à Taqerravt, en date du 27/09/2009, par les services d’hygiène de Mchedallah (voir le bulletin ci-joint), l’eau du robinet destinée à la consommation est non-conforme aux normes de potabilité. Ceci dit, elle présente des risques multiples qui menacent la santé publique.    
Cet état de fait s’explique ou par le fait que les services de l’APC d'Aghbalou, par manque de moyens, n'ont pas procédé au traitement préalable des eaux, ce qui interpelle les hautes autorités à prendre leurs responsabilités, ou par le fait qu’ils ne se soucient pas des retombées négatives sur la santé des citoyens, notamment du chef lieu de la commune, ce qui constitue une négligence passible de sanction par la loi. Pour rappel, la ressource exploitée provient en grande partie de la ressource superficielle acheminée vers le réservoir par le biais des conduites qui puisent l’eau à longueur d'année à partir d’un bassin d'accumulation réalisé au niveau du lit du Oued Aghbalou et sans périmètre de protection, comme l'attestent les photos prises in situ.
Les résultats de nos analyses mettent en doute ceux des services de l'APC et exigent une nouvelle prise d'échantillons par celle-ci et en présence, cette fois-ci, des citoyens comme témoins oculaires
Consciente de la gravité de la situation, la section FFS de la commune Aghbalou exhorte la population : primo à prendre les mesures de sécurité nécessaires, comme la javellisation quotidienne des eaux avant leurs consommation, surtout dans cette période d’intempéries ; et secundo s'organiser pour revendiquer un droit fondamental à une eau saine, propre et potable.
En outre, la section FFS-Aghbalou re-interpelle les autorités à prendre des mesures adéquates sans trop tarder. À tire d’exemple, former le personnel s’occupant de la javellisation des eaux et le nettoyage des réservoirs et des conduites. Et recrutement des cadres compétents pour la meilleure gestion des services communaux.
 « Notre camp est dans la société, dans son avenir et dans son devenir »
Fait à Aghbalou, le 20/10/2009
Réécriture & correction: D.M
 
 
 les Analyse d'une eau potable

07/11/2009
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Un projet qui na pas de garantie d'au moins 24 mois.

 le gabionnage enfin refait ,on sais pas si c'est à la charge de l'entrepreneur ,ou à l'Apc ?

 


31/10/2009
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Un carton rouge

 

Ruc Axam Ruc Adaynin (Ruche Akham Ruche Adaynin )

(désinfecté tout les place dans la maison et dans les étables )

 

 Une expression très répétée  par les vendeurs de pesticide au souk, qui veux dire pulvériser le produit par tout .

 Ce travail on le trouve même chez les pays les plus sous développés au monde .

Fait la nuit dernière ,sans inquiété des biens des citoyens ,le siège d'Algérie telecom ,même un  chien malade qui balade près du siège de l'APC  a subis le même sort .

 Ce genre de boulot on la pas trouvé dans les village voisins ,lors de revêtement des rues .

Non seulement la conformité de ce travail ,disant c'est juste pour vous enlever la poussière ,parce que la gaz de ville Arrive .

Si c'est ça le revêtement des rue on préfère bien la poussière et la boue que le goudron dans nos maison

Pour le premier novembre c'est ce que on lui a préparé comme décore avec bien sure .le drapeau qui n'est pas encore changé

 I. tahar

 

 texte et photos pris sur www.takerboust.fr

 

un type nous a donné une petite information

c'est que le P APC de salir tout ce qui lui apartient (qui veux dire que le siège de l'Apc lui apartient )

 on va lui dire que sur la le mure de ce siège c'est écrit en arabe bicha3b wa li cha3b( l'Apc faite par le peuple et pour le peuple).

va salir ta maison pas notre siège et nos biens !

                                                  

 

 


30/10/2009
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Un ancien FFS de takerboust 1963 décédé

 

 

La section FFs aghbalou ainsi la famille hamoumi de takerboust  a les douleurs de vous annoncez le décès de notre cher camarade et ami

Hamoumi Omar à l'age de 67ans  l'enterrement sera  le mercredi 28/10/2009

à takerboust à près la prière de dhoher .

inna li lAllah wa ina ilayhi raji3oun

à dieu nous appartenons et à lui nous retournons

 


27/10/2009
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Au sujet des marchants stationnant en face de ma maison

 

De M. Djaafar Messaoudi                                                             à M. le P/APC d’Aghbalou

Takerboust, Aghbalou 10192

Bouira

 

 

Date : 24/01/2009

 

Objet : Au sujet des marchants stationnant en face de ma maison

 

J’ai le regret de vous rappeler pour une énième fois que les dénommés Melikechi Akli et Bouaraba Youcef continuent à exercer de la pression sur la partie nord de la rue en stationnant et en étalant leur marchandise sur la partie sud de la même rue. Comme conséquence de cette pression, la rue de mon côté est creusée par la circulation et l’eau de la pluie, qui suit son cheminement depuis Tajmaht, ne pouvant se déverser dans le puisard, se rassemble en grandes flaques et s’infiltre dans ma maison.

 

Pour rappel encore, Bouaraba Youcef a loué le garage de Djamal ; pourquoi donc expose-t-il sa marchandise dans la rue ? S’il y a une loi, vous devriez l’appliquer sur lui et les autres qui obstruent la rue et me causent ces dégâts-là. Sinon, vous devriez me laisser me débrouiller avec eux et avec les gens de Takerboust qui sont complices dans ces blocages.

 

Je me fixe un délai d’une semaine pour observation. Si rien n’a changé dans cette rue, je remettrai mes barils et autres objets sur la partie nord de la rue, afin de repousser la circulation de mon côté et limiter les dégâts. Toute mesure prise contre moi injustement en épargnant les fautifs ne fera que radicaliser ma position. Cette fois-ci, je ne renoncerai pas à mon droit sous aucune pression.

 

 

 

 

Photos prises le 24/01/2009


12/10/2009
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Preuves en images

Preuves en images

(Photos par : Djaafar Messaoudi)

 

Regardez, le camion de Azrar occupe  le trottoir et la marchandise occupe + 1m de la rue. Quant au camion de Bouaraba, il est là inutilement, occupant le trottoir en attendant l’arrivée de la camionnette.  

Le véhicule de Tamsaout et celui de Bouaraba. Si je n’avais pas mis de d’entraves, ils auraient occupé la moitié de la rue.

Les véhicules de Takhlidjt et de Ouadi occupant la moitié de la rue face à la porte d’entrée de ma maison.

Le véhicule de Takhlidjt et un étranger habitué à stationner sur le lieu. Regardez où sont posés les cajous.

 

Les véhicules de Ouadi et de Bouaraba en face de ma maison. Regardez combien de place ils ont occupé dans la rue.

Passage et croisement dangereux ; le piéton risque à tout moment d’être broyé entre deux véhicules ou se faire écraser les pieds du côté du trottoir.

Regardez le trottoir ; il est occupé par la marchandise de la quincaillerie d’en face et celle du commerçant Takhlidjt. Celui-ci laisse balader au gré du vent les déchets de sachets et de papier.  

Image zoomée de la rue  en face de ma fenêtre.

Cartons, sachets, papier, et épluchures de fruits et légumes pénètrent jusqu’à ma maison par la porte d’entrée faisant face à la rue.

 

Déchets de fruits et légumes, en plus des cartons et sachets, jetés par les commerçants incriminés au bas de la rue, dans propriété de Younes, à côté de ma maison.  

Toutes les fois qu’un véhicule vient ravitailler mes locaux, il se trouve un autre de l’autre côté qui bloque la circulation. Ensuite, des clacksons fusent des deux sens de la rue pour faire partir le ravitailleur. Des bagarres éclates fréquemment.  

Le regroupement des gens autour du véhicule du marchant est parfois tel qu’il obstrue non seulement la rue, mais aussi l’accès à ma maison dont la porte d’entrée est juste en face.  (ici, j’ai dû repousser le camion de quelques centimètres avant le stationnement).

 

- En plus du bruit des moteurs, des déchets de fruits et de légumes, des fumées d’échappement, des embouteillages, certains marchants (les enfants de Takhlidjt Akli, ceux de Bouaraba Youcef, etc) crient des gros mots et font des gestes érotiques en face de ma maison. Aucun respect pour l’entourage.

- Parfois, pour réserver la place pour le jour qui suit, certains marchants laissent leurs véhicules sur place et passent la nuit sur la cabine ou sous la fenêtre de ma maison. Dans le silence de la nuit, ils peuvent même m’entendre « converser » avec ma « famille ».   

 


12/10/2009
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Irresponsabilité au sein de l’APC d’Aghbalou

Irresponsabilité au sein de l’APC d’Aghbalou

Par : D.Messaoudi

 

Dois-je rappeler que le maire est élu par les citoyens afin de servir les citoyens ? Le P/APC d’Aghbalou semble avoir oublié sa mission, sinon comment se fait-il qu’un citoyen en litige avec d’autres citoyens lui adresse une plainte il y a plus d’un mois et lui préfère couver dans son bureau en gardant un silence méprisant à l’égard de la requête du plaignant ?

 

L’affaire qui m’oppose aux marchants ambulants, aux commerçants d’en face et aux revendeurs de poisson et de poulet est grave dans les dommages qu’elle m’occasionne et facile à gérer et à lui trouver des solutions.

 

Dommages occasionnés :  

 

  1. Le côté sud de la rue étant quotidiennement occupé par les véhicules et leurs marchandises, en plus des clients, des poids lourds, chargés de surcroît, devront serrer vers le côté bas jusqu’à passer sur le trottoir, du côté de ma maison. Sachant que celle-ci possède une cave, un de ses murs sert aussi d’un mur de soutien à la rue. Le passage d’un poids lourd chargé sur la rue cause déjà des vibrations dans toute ma maison qui, par le temps, se fissure. Que dira-t-on alors du passage de ce même type de véhicule sur le trottoir construit sur ce mur de soutien ? Ce n’est pas nécessaire d’être architecte pour connaître la réponse.

 

  1. Les marchandises telles que l’ognon et la paille produisent des masses de déchets qui, par l’effet des vents, s’éparpillent et s’introduisent dans mes locaux et ma maison.

 

  1. Une demi heure avant leur départ, les marchants en question mettent les moteurs de leurs véhicules en marche. Il s’ensuit que je suis dérangé non seulement par le bruit amplifié par la forme sphérique de la rue située entre nos habitations, mais aussi par la fumée des échappements qui monte et s’infiltre avec l’air dans l’intérieur de ma maison. Là encore, on n’a pas besoin d’être des génies en physique pour comprendre le phénomène.

 

  1. Comparée aux autres rues du village, notre rue connaît plus de problèmes liés à l’encombrement ; il ne se passe presque pas une seule journée sans qu’une bagarre éclate entre les passagers parmi les automobilistes ou entre ceux-ci et les camionneurs qui ravitaillent les commerçants ayant loué mes locaux. Même moi je me retrouve malgré moi entraîné dans ces conflits toutes les fois que j’ai des matériaux de construction à décharger. Je n’ai droit même pas à 10 ou 15 minutes de stationnement paisible face aux occupants illégaux de la rue, alors que je suis le propriétaire de la maison qui donne sur cette rue ! J’en ai vraiment marre de devoir crier chaque jour pour me faire de la place.

 

  1. Les revendeurs de poisson, souvent en nombre de quatre, étalent leur marchandise sur le trottoir et y déversent continuellement de l’eau pour la rafraîchir ; il s’ensuit qu’un mélange d’eau et de sang court le long du trottoir jusqu’à l’angle ouest de ma maison où il forme une flaque avant de descendre dans la rue  et continuer sa course devant ma maison jusqu’à l’ouverture du puisard situé à l’autre angle de ma demeure. Non nettoyé et la chaleur de l’été aidant, le trottoir pue l’odeur du poisson pourri et des hordes de mouches tournoient sur les lieux et envahissent mes locaux et ma maison. Encore une fois, on n’a pas besoin d’être des docteurs en médecine pour savoir que la santé publique en général et la santé de ma famille en particulier est mise en péril.

 

  1. Les commerçants de poulet, qui n’apparaissent heureusement qu’à l’approche des fêtes religieuses, provoquent autant de dégâts ; ils quittent les lieux en laissant derrière eux le plumage, les excréments et le sang des poulets égorgés. Parfois, ils osent même jeter au bas de la rue (dans la propriété d’Ath Qassi ou celle de Younes Messaoudi) des poulets mort de maladie ou d’épuisement. Si le poulet n’est pas aussitôt dévoré par les chiens ou les chats, les habitants de ce lieu ont alors droit à de bonnes doses d’odeur du pourri.

Solutions proposées:

 

1-     A leur venue au matin, les marchants devront éteindre les moteurs de leurs véhicules aussitôt garés. En se préparant au départ, ils ne devront allumer les moteurs qu’à cinq minutes du démarrage ; c’est amplement suffisant pour remplir les bouteilles à gaz des freins et c’est moins dérangeant en terme du bruit et des gazes d’échappement pour les habitants des lieux.      

2-     Les marchants ambulants déchargeront et étaleront leurs marchandises sur le trottoir puis emmèneront leurs véhicules à leurs garages. De cette manière, la rue gardera ses deux voies et aucun embouteillage ne sera provoqué. A l’heure du départ, les marchants ramèneront leurs camions pour charger leurs cajous vides, nettoieront la place et repartiront.

3-     Les marchants de poisson étaleront leur marchandise sur un récipient métallique qui accueillera les eaux usées et les déversera à travers un tuyau dans un bidon. Une fois celui-ci rempli, il sera déversé directement dans le puisard le plus proche. Ainsi, le trottoir restera propre et la santé publique sera préservée.

4-     Les marchants de poulet devront aussi utiliser un récipient pour le sang des poulets égorgés. Quand un poulet meure, ils devront le brûler complètement au bas côté de la rue ou l’emmener avec eux au départ pour le jeter hors du village.

 

Comme vous voyez, tout problème a une solution. Il suffit de la bonne volonté des uns et des autres pour mettre fin aux conflits. Et le P/APC, en tant que magistrat suprême de la commune, devra mobiliser ses services afin de mettre fin définitivement à toute situation qui pourrait mener vers l’irréparable. Sinon, il aurait trahi la confiance des citoyens qui l’ont désigné pour gérer leurs affaires.

 

Pour finir, je suis conscient de l’intérêt de ces commerçants pour mes co-villageois – c’est pourquoi ceux-ci les défendent avec acharnement – ; cet intérêt me touche aussi en tant que propriétaire des locaux commerciaux, puisque notre rue devenue une rue commerçante attire des clients, mais tout cela ne doit pas justifier l’existence des embouteillages, de la saleté et de tant d’autres désagréments qui nous empoisonnent la vie dans notre quartier

12/10/2009
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vidéos à ne pas rater

Un Chaoui fière de ses origines mazigh

http://www.youtube.com/watch?v=pYJC6lUKoAY

 Ait ahmed  dans un débat sur tv france

http://www.youtube.com/watch?v=aAGqX4HP0Jo


09/10/2009
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a voir?

http://www.youtube.com/v/pYJC6lUKoAY&hl=fr&fs=1&"></param><param http://www.youtube.com/v/pYJC6lUKoAY&hl=fr&fs=1

09/10/2009
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Large audience de la radio locale

C’est sur les deux fréquences 103.9 et 106.9 FM, que diffuse depuis décembre 2008 la radio régionale de Bouira. Les programmes sont diffusés de 6h40 jusqu’à 14h dans les deux langues, tamazight et arabe. Indubitablement, cette station est parvenue dans un laps de temps à acquérir une large audience à travers plusieurs régions.



Il s’agit d’un défi que s’est fixé cette jeune équipe composée de 4 journalistes, 4 animateurs, 4 techniciens et 4 réalisateurs. C’est ce qui fait d’ailleurs, considère M. Ahmed Hameche, directeur de cette station le mérite de cette nouvelle station. Cependant, si la réception est parfaite dans une grande partie de la wilaya de Bouira, il reste que quelques régions, à l’instar de celles d’Ath Laâziz, Aomar, Aïn Turk et Lakhdaria, demeurent peu couvertes par les ondes de cette chaîne. Interrogé à ce propos, le directeur de la station dira qu’une proposition avait été soumise aux services des transmissions radio afin de réaliser un émetteur dans la région de Tachachith Anadhour au nord de Bouira. Dans la partie sud de la wilaya, des travaux de réalisation d’un deuxième émetteur d’une capacité de 2.5 KW sont en cours dans la région de Dirah. Selon toujours les dires de notre interlocuteur, cet émetteur va permettre une bonne couverture à la population de toutes ces régions du sud, ainsi pour celles des wilayas limitrophes à l’instar de Médéa, M’sila et le nord de Djelfa. A signaler que la station de Bouira est dotée d’un seul émetteur d’une capacité de 100 watts. Et en ce qui concerne la programmation, le directeur dira : « Nous avons axé notre programme sur des émissions concernant, l’investissement, l’agriculture et l’éducation. Tout ce qui concerne le développement de notre wilaya », avant d’ajouter qu’une bonne partie des programmes est consacrée au divertissement et aux volets sociaux et culturels. Tout comme, il a soulevé un problème relatif à l’accès à l’information, auquel est confrontée toute la corporation journalistique locale. A ce sujet, il dira : « à Bouira l’accès à l’information demeure un problème pour nos journalistes. » En somme, une station radio régionale à Bouira demeure un acquis pour la population. En attendant, d’autres réalisations à l’instar de la maison de la presse promise par le premier responsable de la wilaya ; mais qui, pour des raisons qu’on ignore, attend toujours sa mise en oeuvre.



Par Amar Fedjkhi

in el watan 06/10/2009


09/10/2009
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Wilaya de Bouira : Des projets pour booster le développement local

 

Le développement rural passe par l’implication des populations locales avec en prime des projets en adéquation avec l’environnement immédiat et les besoins les plus pressants des populations », nous dira un cadre de la Conservation des forêts de la wilaya de Bouira chargé du suivi de la mise en œuvre du tout nouveau programme de développement rural intégré destiné aux régions situées en amont du barrage de Koudiat Acerdoune (640 millions de m3) dans la daïra de Lakhdaria.



Selon des sources proches du dossier, pas moins de huit PPDRI (Projet de proximité pour le développement rural intégré) sont déjà ficelés et répartis sur 6 communes de la wilaya de Bouira, à savoir Raouraoua, Bir Ghbalou, Mâala, Z’barbar, Guerrouma et Dechmia. Ces projets inscrits dans le même cadre de protection du bassin versant du même barrage, comprenant une bonne partie des localités situées à l’est de la wilaya de Médéa, concernent une étendue de territoire dont la superficie globale est estimée à 3000 km2. Lesdits projets couplés à d’autres opérations inscrites dans le cadre des PSD (programme sectoriel de développement) ont pour objectif d’assurer le développement durable des localités concernées. A noter que sur instruction du ministère de l’Agriculture et du Développement rural, l’opération de protection du bassin versant, deuxième du genre au niveau de cette wilaya, après celle effectuée durant les années 1980 du côté du barrage Lakhal (Aïn Bessem), s’est vu intégrée dans le cadre du programme national du développement rural dont la déclinaison s’est faite, depuis au moins deux ans, sous forme de PPDRI.

Une étude spécifique déterminant les modalités de mise en œuvre ainsi que de l’impact tant économique, social et sur l’environnement a été effectuée par le bureau d’étude québécois, Tecsult-International-Limitée. Les conclusions des études de terrain faites entre 2006 et 2007, ont été réceptionnées en fin de l’année 2008 avant d’être soumises aux services techniques chargés de la mise en pratique. Ainsi et après formulation des différents projets de proximité par les collectivités locales et les représentants des populations locales (animateurs des PPDRI et services réceptacles), huit projets sont projetés pour l’année en cours. Ces derniers seront donc articulés sur des investissements tant publics que privés. La nouveauté, notamment pour le volet des opérations individuelles, est l’application de la nouvelle procédure axée sur les contrats de performance. Ledit programme est par ailleurs appelé à être prolongé dans un processus pluriannuel, et portera sur des actions agro-forestières et bien sûr des projets individuels de diverses natures dont l’accompagnement se fait à travers les différents dispositifs de soutien à l’investissement et à l’emploi. Ce sont donc les différentes facettes d’un projet global qui a pour double finalité la protection du bassin versant du barrage et l’amélioration du cadre de vie des citoyens.



Par Lyazid Khaber

in el watan le 07/10/2009


09/10/2009
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Ahnif Grève des travailleurs algériens de l’entreprise chinoise CITIC/CRCC

CITIC/CRCC
Fermeture de la base-vie

Les travailleurs algériens de l’entreprise chinoise CITIC/CRCC chargée de la réalisation du tronçon autoroutier ont accentué leur action hier en procédant à la fermeture de la base-vie de ladite entreprise chinoise chargée de la réalisation du tronçon autoroutier qui traverse la commune d’Ahnif sur une distance de 16 km. Cette action, selon les travailleurs rencontrés sur le site, vient après une grève de dix jours entamée par quelque 300 ouvriers sans qu’une lueur d’espoir s’est dégagée. Et aux grévistes de poursuivre que “tout juste après la fête de l’Aïd, un préavis de grève a été déposé réglementairement. Celui-ci portait sur la demande de régulariser l’ensemble de leurs droits, à l’image des arriérés des primes de risque, des primes de panier, le paiement des heures supplémentaires, l’accès à la médecine de travail, des indemnités de licenciement... ce que l’entreprise aurait tardé à concrétiser”. Les mêmes sources ajoutent qu’“une délégation de l’ANA s’est déplacée d’Alger où une plate-forme des revendications lui a été remise en attente d’une réponse sous huitaine”. Effectivement, en début de semaine, une délégation de l’ANA s’est déplacée encore une seconde fois vers la base-vie sans qu’elle prenne attache avec les travailleurs en grève pour de probables négociations, au regard de l’absence d’une représentation syndicale à même de prendre en charge leurs revendications, ce qui a poussé les travailleurs à réagir par la fermeture de ladite base en hier matin, ne permettant ni aux travailleurs chinois ni à leurs engins de la quitter. En plantant une banderole au slogan “Nous sommes en grève” et “Rendez nous nos droits bafoués”, les grévistes ont fait réagir les représentants de l’ANA et du chef du cabinet du wali de Bouira qui se sont déplacés et ont longuement discuté avec eux dans l’optique de dénouer la situation ,d’autant que même le second chantier sis à Hammam El Biban serait lui aussi rentré en grève, ce qui influerait négativement sur les délais de la réception globale du tronçon autoroutier Bouira/ limites wilaya de Bordj Bou Arréridj sur une distance de 101 km attendu à être réceptionné vers la fin de ce mois. Même si le projet reste en avance sur les délais contractuels de 9 mois, une raison de plus sur laquelle s’appuient ces grévistes. Ils rappelllent du reste que cet acquis s’est réalisé aussi grâce à leur sacrifices et efforts déployés qui méritent en contrepartie une compensation financière. A l’heure ou nous mettons sous presse, aucun compromis n’aurait été dégagée mais les négociations se poursuivent toujours.

F. K.

in depeche de kabylie le 08 octobre 2009


09/10/2009
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